Sophie M. Ekande M. Sc. virologie-immunologie - Ostéopathe DO. Née à Paris le 15 Juin 1964. Après une année d’étude à la faculté de médecine de Bordeaux II (France) elle s’oriente vers la microbiologie et immigre au Canada. Elle obtient son B.Sc., de la faculté des sciences de l’Université de Sherbrooke, Québec, Canada et participe à une étude avec le groupe de Recherche sur les maladies Infectieuses du Porc, Faculté de Médecine Vétérinaire, Université de Montréal, Québec, Canada : Affinity for porcine respiratory tract mucus is found in some isolates of Actinobacillus pleuropneumoniae, sous la direction du professeur Mario Jacques.
En 1992 elle rejoindra dans le cadre de sa maîtrise le groupe de recherche scientifique sur la SEP à l’Institut Armand Frappier à Montréal, dans le laboratoire of Neuroimmunovirology, Human Health Research Center, Armand-Frappier Institute, INRS, University of Quebec, Laval, Québec, Canada H7V 1B7 www.iaf.inrs.ca et sera co-auteur à l’étude suivante : Persistent Infection of Human Oligodendrocytic and Neuroglial Cell Lines by Human Coronavirus 229E, Journal of Virology, April 1999, p. 3326-3337, Vol. 73, No. 4 0022-538X/99, avec Nathalie Arbour, Geneviève Côté, Claude Lachance, Fanny Chagnon, Marc Tardieu, Neil R. Cashman, and Pierre J. Talbot. http://jvi.asm.org/cgi/content/abstract/73/4/3326.
La maternité lui fera prendre une certaine distance avec la recherche. Elle enseigne alors l’immunologie comme chargée de cours à la faculté de médecine de Montréal.
En 2001 des problèmes de santé physique lui feront connaitre l’ostéopathie. Fasciné par la portée d’une telle médecine manuelle elle rentre comme étudiante à l’Académie d’Ostéopathie de Montréal.
Depuis 2008 elle enseigne à l’Académie d’ostéopathie de Montréal et poursuit sa pratique ostéopathique avec l’âme d’un chercheur.
« Pour moi, l’erreur fondamentale ...., c’est la façon qu’ont les tenants de la rationalité traditionnelle d’insister sur l’objectivité. Pour que la vraie science puisse s’exercer, il faut dissocier rigoureusement le sujet et l’objet. Vous êtes mécanicien, voilà la moto ; vous serez toujours distincts l’un de l’autre. Vous pratiquez sur elle telle ou telle opération - et tels seront les résultats. Nous sommes tellement habitués à cette approche dualiste de la motocyclette, qu’elle nous parait aller de soi. Mais ce n’est qu’une interprétation artificielle, plaquée sur la réalité. Ce n’est pas la réalité. Si l’on accepte complètement cette dualité, on détruit la relation étroite qui existe entre le mécanicien et la moto, l’amour de l’artisan pour son travail. Quand la rationalité traditionnelle divise le monde en sujet et en objet, elle élimine la qualité. Et quand on est vraiment bloqué, c’est la qualité qui nous indique la voie à prendre »
Robert M. Pirsig, traité du zen et de l’entretien des motocyclettes.
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