D.O. (Qc), b.sc.erg.
– Bachelière en sciences de la santé (ergothérapie), Université Laval, 1982.
– Graduée en ostéopathie, Collège d’études Ostéopathiques de Montréal (CEO), 1999.
– Diplômée en ostéopathie, thèse : Effet du traitement ostéopathique sur les symptômes éprouvés par les femmes souffrant du syndrome de fatigue chronique, CEO, 2001.
– Professeure d’ostéopathie au CEO (principalement dans le cadre du programme de baccalauréat chapeauté par l’Université de Wales, Royaume-Uni).
– Professeure au département de la recherche au CEO.
– Co-direction, département de la recherche, CEO.
– Membre de l’Association des diplômés en ostéopathie, A.D.O.Q.
– Membre du Registre des Ostéopathes du Québec, R.O.Q
« Pour moi, l’erreur fondamentale ...., c’est la façon qu’ont les tenants de la rationalité traditionnelle d’insister sur l’objectivité. Pour que la vraie science puisse s’exercer, il faut dissocier rigoureusement le sujet et l’objet. Vous êtes mécanicien, voilà la moto ; vous serez toujours distincts l’un de l’autre. Vous pratiquez sur elle telle ou telle opération - et tels seront les résultats. Nous sommes tellement habitués à cette approche dualiste de la motocyclette, qu’elle nous parait aller de soi. Mais ce n’est qu’une interprétation artificielle, plaquée sur la réalité. Ce n’est pas la réalité. Si l’on accepte complètement cette dualité, on détruit la relation étroite qui existe entre le mécanicien et la moto, l’amour de l’artisan pour son travail. Quand la rationalité traditionnelle divise le monde en sujet et en objet, elle élimine la qualité. Et quand on est vraiment bloqué, c’est la qualité qui nous indique la voie à prendre »
Robert M. Pirsig, traité du zen et de l’entretien des motocyclettes.
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